La belle au bois dormant

Mars 2012 - La classe des 6e4 et 6e1- Collège de Semur-en-Auxois - Mme CABAU

Raconter l'arrivée d'un héros dans un lieu mystérieux

A votre tour, écrivez en quelques lignes l’arrivée d’un héros dans un endroit mystérieux. Pour cela, complétez les phrases suivantes :
- A peine s’avance-t-il vers…………….. que…………..
- Il entre dans…………………..où tout ce qu’il voit d’abord le surprend grandement : c’est………………
- Il passe………………, il monte…………………, il entre……………., il traverse………….
- Enfin il voit sur………………….le plus……………………des spectacles qu’il eût jamais vu.

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A peine s'avance t-il  vers ce brasier incandescent qu'un phœnix comparable au soleil levant jaillit des flammes. Il entre dans une bulle d'air indestructible et descend dans cette fournaise effroyable, où tout ce qu'il voit d'abord le surprend grandement : c'est un déluge de feu ardent. Il passe dans un volcan en pleine éruption, monte entre les coulées de lave brûlante , le prince entre dans un souterrain lugubre à l’abri des flammes, il traverse des tunnels étroits et sombre. Enfin il sort et voit sur une falaise le plus effrayant des spectacles jamais vus.  


ErwanA

A peine s'avance-t-il vers le bois obscure qu'une nuée de chauves-souris se jette sur lui poussant des cris stridents. Il entre jusqu'au plus profond du bois où tout ce qu'il voit d'abord le surprend grandement. C'est une hécatombe de corps humains en décomposition qui gisent sur le sol. Il passe son chemin pour éviter l'odeur nauséabonde qui hante ses narines, il monte les escaliers en pierre, vestiges d'un grand manoir envahi par les ronces. Il entre dedans le cœur rempli d'effroi en poussant une porte en bois imposante, et traverse une pièce très sombre où araignées, puces et autres insectes se sont installés. Enfin il voit sur les murs le plus horrible des spectacles qu' il ait jamais vu. Le silence règne, une dizaine de squelettes sont attachés au mur par les mains. Quand soudain il sent une force invisible le hisser sur le mur et lui attacher les poignets. Plus un bruit, plus un souffle.                                  

Théo 6e4.